L’organisation de l’AFCA-CIAL

Au service de ses adhérents

Le fonctionnement de l’association

Le rôle de l’AFCA-CIAL est d’assurer la défense collective des entreprises du secteur des aliments complémentaires et des produits de nutrition spécialisés ainsi que du secteur des additifs et ingrédients fonctionnels de l’alimentation animale.

Pour travailler sur ses enjeux prioritaires – Sécurité sanitaire, Nutrition-Santé, Durabilité – l’AFCA-CIAL s’appuie sur les positions de son Conseil d’Administration. Elle les met en œuvre au travers de ses groupes de travail qui proposent des recommandations et positions professionnelles.

L’association est animée au quotidien par une équipe permanente.

Une association gérée par

Un Conseil d’Administration

Le Conseil d’Administration est élu par l’Assemblée Générale. Il est composé de 20 entreprises représentatives de tous les métiers et tous les types de structures. Les représentants des entreprises administratrices sont très impliqués dans la vie et le fonctionnement de l’association. Le Conseil est un organe décisionnel qui fixe les orientations de l’association.
Découvrez la composition du Conseil d’Administration

 

Un Bureau opérationnel

Le Conseil d’Administration désigne son Bureau qui comprend 7 personnes : un président, 4 vice-présidents, un secrétaire et un trésorier.
Découvrez la composition du Bureau

 

Une équipe permanente

Une équipe de 4 personnes à temps complet, Géraldine, Claire, Héloïse et Sylvie, assurent le fonctionnement et l’animation de l’association au quotidien.

Découvrez l’équipe

 

Des groupes de travail

Les collaborateurs(rices) des entreprises adhérentes sont pleinement impliqué(e)s dans l’avancement des dossiers collectifs.

Chaque groupe de travail est animé par une collaboratrice et un administrateur référent chargé de faire le lien entre le groupe de travail et le Conseil d’Administration, et de s’assurer du respect des orientations définies par celui-ci.

Soucieuse du respect des règles de la concurrence, l’AFCA-CIAL a fait réaliser un audit et a mis en place des bonnes pratiques strictes. L’ensemble des participants aux réunions sont tenus de respecter les règles du droit de la concurrence et en particulier celles relatives à l’interdiction d’ententes anticoncurrentielles.

En savoir plus sur les groupes de travail